Par Eloutarga KARoU
Le schizophrène Homo sapiens – épicentre de son univers – est vaniteux, au point de volontiers manipuler l'entourage pressenti hostile, et tente d’assouvir son hypertrophique ego, cancane en ‘besacier’ (1) ; envieux, « jusqu’au-boutiste casaquin flavescent (2) », il cède aux pulsions de maîtriser le bien d’autrui, puis autrui, s’en prend à tout un chacun avec joie, fureur… au gré de son humeur, et, sadomasochiste, tape du sucre sur le dos des copains (façon de dire), alors qu’il sait ne pas être immun des observations, condamnations qu’il projette à la ronde.
Ainsi donne-t-il motif à satires, en son univers de mythes par soi-même imaginés, lui, fauve indompté qui ne voile pas ses lacunes de bonne volonté sauf à feindre, lui vif à combattre les incursions foulant son pourpris. Surabondent agressivité, ruse pour se défendre, capturer, punir, asservir ; mais l’ouverture d’esprit tarde au rendez-vous. Or, sont nécessaires… tant de formes de relations en société, pour tantôt survivre, tantôt s’épanouir en harmonie.
Alors, plaçant son ‘Épître aux congénères’ sous les auspices de l’alternante suprématie des divinités jadis en vogue [les soeurs Kères (artisanes de mort violente) et les Érotes (Amour dans ses différents états : besoin, désir, possession)], un satiriste de service de plus, l’auto-caligulisé trinitaire néo-dieu Ours de Soomaa : Vieil Ours, Plantigrade, Ursidé … batifole, gronde, lacère.
Rebelle à l’idée de sombrer dans l’oubli sans avoir laissé d’utiles traces, cet Ours épanche ses attentionnées, goliardes réflexions Ménippées de déclinant érudit, pseudo-défroqué du début du XXIème siècle… à l’intermittente lueur d’atemporels repères aux noms d’Elsa Brändström, Mère Teresa, Alexandra David-Néel. Et c’est sur une citation de celle-ci, indistinct phare dans l’épais brouillard de la nuit de l’esprit, que s’achève l’Épilogue au Tome V.
D’ici là, place aux essais plaisantins, caricaturaux, philippiques, parfois licencieux, toujours irrévérencieux à l’encontre de celles et ceux qui, croyant le faire impunis, imprudemment se hasardent au-delà de ce que l’Ursidé estime être le bon sens dicté par l’empathie.
Les 3 premiers Tomes sont satiriques ; le 1er, versifié est quasi clément ; le 2ème, en prose agrémentée de vers, est pessimiste ; le 3ème joue entre styles et genres ; le 4ème est poétique traduisant-adaptant en vers néo-classiques français conservateurs ou libérés-structurés des textes-sources d’une douzaine de langues qu’Ours a pratiquées ; le 5ème Tome module le sombre portrait de Sapientis. Les Prolégomènes au Tome I et l’Avant-Propos du Tome III expliquent contenu, agencement, variantes de styles du présent Ouvrage ‘La Griffe de l’Ours de Soomaa’.
Plaisante-âpre lecture, congénères besaciers (1), qui reconnaîtrez autrui, jamais vous-mêmes !
L’auteur : Elutarga KARU [L’Ours (philosophe) qui a l’expérience de la vie]
Le schizophrène Homo sapiens – épicentre de son univers – est vaniteux, au point de volontiers manipuler l'entourage pressenti hostile, et tente d’assouvir son hypertrophique ego, cancane en ‘besacier’ (1) ; envieux, « jusqu’au-boutiste casaquin flavescent (2) », il cède aux pulsions de maîtriser le bien d’autrui, puis autrui, s’en prend à tout un chacun avec joie, fureur… au gré de son humeur, et, sadomasochiste, tape du sucre sur le dos des copains (façon de dire), alors qu’il sait ne pas être immun des observations, condamnations qu’il projette à la ronde.
Ainsi donne-t-il motif à satire, en son univers de mythes par soi-même imaginés, lui, fauve indompté qui ne voile pas ses lacunes de bonne volonté sauf à feindre, lui vif à combattre les incursions foulant son pourpris. Surabondent agressivité, ruse pour se défendre, capturer, punir, asservir ; mais l’ouverture d’esprit tarde au rendez-vous. Or, sont nécessaires… tant de formes de relations en société, pour tantôt survivre, tantôt s’épanouir en harmonie.
Alors, plaçant son ‘Épître aux congénères’ sous les auspices de l’alternante suprématie des divinités jadis en vogue [les soeurs Kères (artisanes de mort violente) et les Érotes (Amour dans ses différents états : besoin, désir, possession)], un satiriste de service de plus, l’auto-caligulisé trinitaire néo-dieu Ours de Soomaa : Vieil Ours, Plantigrade, Ursidé … batifole, gronde, lacère.
Rebelle à l’idée de sombrer dans l’oubli sans avoir laissé d’utiles traces, cet Ours épanche ses attentionnées, goliardes réflexions Ménippées de déclinant érudit, pseudo-défroqué du début du XXIème siècle… à l’intermittente lueur d’atemporels repères aux noms d’Elsa Brändström, Mère Teresa, Alexandra David-Néel. Et c’est sur une citation de celle-ci, indistinct phare dans l’épais brouillard de la nuit de l’esprit, que s’achève l’Épilogue au Tome V.
D’ici là, place aux essais plaisantins, caricaturaux, philippiques, parfois licencieux, toujours irrévérencieux à l’encontre de celles et ceux qui, croyant le faire impunis, imprudemment se hasardent au-delà de ce que l’Ursidé estime être le bon sens dicté par l’empathie.
Les 3 premiers Tomes sont satiriques ; le 1er, versifié est quasi clément ; le 2ème, en prose agrémentée de vers, est pessimiste ; le 3ème joue entre styles et genres ; le 4ème est poétique traduisant-adaptant en vers néo-classiques français conservateurs ou libérés-structurés des textes-sources d’une douzaine de langues qu’Ours a pratiquées ; le 5ème Tome module le sombre portrait de Sapientis. Les Prolégomènes au Tome I et l’Avant-Propos du Tome III expliquent contenu, agencement, variantes de styles du présent Ouvrage ‘La Griffe de l’Ours de Soomaa’.
Plaisante-âpre lecture, congénères besaciers (1), qui reconnaîtrez autrui, jamais vous-mêmes !
L’auteur : Elutarga KARU [L’Ours (philosophe) qui a l’expérience de la vie]